La fin de mon monde...

Publié le par Rudovikku


  Oui, je sais, j'ai dit que le blog était fermé. Je sais en général on fait pas un articledeux jours plus tard quand on dit ça. Mais ça va tellement mal pour le moment, que j'ai besoin d'écrire, de me soulager du poids que j'ai en moi. Apparemment j'ai eu les réponses à mes questions précédentes...

Qui je suis ?
Un pauvre type qui n'était qu'une illusion...

Où je vais ?
Là où je crois qu'il est toujours bon d'aller malgré tout...
Pourquoi ?
Parce que j'y crois, parce que j'y croirais toujours...

Est-ce que j'ai pris les bonnes décisions ?
Je croyais, peut-être que j'ai fait pire que mieux....

Est-ce que je peux y arriver ?
J'abandonnerai pas maintenant, j'ai toujours voulu faire tout mon possible.




 Mais pourquoi ? Pourquoi en est on arrivés là ? S'il y a une quelconque force mystique là au dessus de nous, ou en dessous, ou n'importe où.... je me fiche de savoir où elle est présente, moi je voudrai juste savoir ce que j'ai fait de mal dans ma vie pour mériter ça ? Sans doute que ça fait marrer cette force mystique de briser un homme ainsi... L'homme est vraiment une créature fragile, il suffit de quelques mots pour qu'il se retrouve à terre sans vouloir même se relever. On aura beau me dire, de ne pas bloquer mes sentiments, que je mérite quelqu'un avec un meilleur caractère parce que je le mérite, oui t'auras beau me dire tout ça. Jamais mes sentiments ne changeront pour toi, si ils existent c'est uniquement pour toi, je me fiche bien de quelqu'un qui a un meilleur caractère, si je t'ai choisie c'est qu'il me plaît ton caractère et puis...


T'es la seule qui compte à mes yeux, la seule qui à toujours compté, je me vois pas sans toi...

Et la distance, moi je la vaincrai la distance. C'est pour la vaincre que je fais autant d'efforts...Alors non, j'abandonnerai pas. Parce que merde...Je t'aime.

(PS: "Les hommes ne pleurent pas" est aussi vrai qu'une légende urbaine...C'est pitoyable, je me demande comment j'ai pas réussi à court circuiter mon ordi en faisant cet article, je crois que j'ai jamais autant chialé)





Que les cieux sont immenses,

Que le passé est lointain !
Avec mon frêle corps de cinq pieds, je cherche à comprendre ces immensités,
Et comment la philosophie d'Horace peut-elle avoir une quelconque valeure ?
La vérité de toute choses ne me laisse qu'un unique message...
Nul ne peut comprendre, embrassant ce sentiment,
Je me décide pour le doute et enfin la mort !
Déjà je me dresse sur les rochers, nulle angoisse ne m'étreint.
Pour la premiere fois je sais,
Mon desespoir va croissant avec mon optimisme...

Misao Fujimura





 

Publié dans News

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